Difficultes scolaires

 

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DIFFICULTES SCOLAIRES

Penser à rechercher un déficit de l'audition, un trouble visuel, une mauvaise structuration corporelle (droite-gauche, coordination des mouvements), une mauvaise structuration temporo-spatiale.

Penser à une anomalie du développement du langage :
-anomalie de l'articulation des mots, pauvreté du vocabulaire ou de la syntaxe (milieu familial ?).
-dyslexie.

Analyser l'organisation de la journée:
-trajets scolaires trop longs entraînant fatigue et perte de temps.
-excès d'activités extra-scolaires (sport intensif, musique, jeux divers...) : on ne peut pas tout faire dans la vie, il faut faire des choix.
-manque de sommeil : le besoin de sommeil est très variable d'un individu à l'autre mais schématiquement compter 12H avant 7-8 ans,10 à11H avant 11 ans, 9 à 10H avant 15 ans
-La fatigue quelle qu'en soit la cause entraîne un déficit de l'attention et de la mémorisation. En cas de fatigue inexpliquée, rechercher une maladie sous-jacente.
-La concentration est-elle bonne : c'est la qualité du travail qui prime souvent sur la quantité ; travailler dans un endroit bruyant ou agité n'est pas l'idéal, de même que travailler en écoutant de la musique ou en regardant la télé...

Penser à une difficulté affective :
-opposition à toute acquisition scolaire (indiscipline, provocations, délinquance).
-phobie scolaire, phobie d'un enseignant mal perçu (à tort ou à raison) avec réaction d'anxiété si on essaie de forcer l'enfant.
-dégoût de tout et de ce qui est scolaire en premier, chez un enfant déprimé.
-inhibition de l'enfant timide, trop sage, replié sur lui-même, craignant l'enseignant et l'échec.
-enfant surprotégé ou au contraire plus ou moins abandonné à lui-même
-anxiété liée à la difficulté de la séparation entre 5 et 7 ans.
-enfant instable, hyperactif qui ne peut rester pas en place ou fixer son attention.
-Existence d'un problème familial : divorce, alcool, drogue, chômage, violences.

rechercher un déficit intellectuel :
-débilité mentale légère correspondant à un Q.I. situé entre 65 et 80.
-séquelles de lésions cérébrales à la naissance.
-déficience mentale avec anomalies morphologiques.
-Il a été démontré que l'intelligence est soumise aux lois de la génétique, en conséquence le Q.I. de l'enfant dépend en partie de celui des parents.

Le traitement sera fonction de la cause ou des causes.

 

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